Terra humanum est
Après trois jours de folies passés au Hellfest dans la poussière, quoi de mieux que de charrier 5m3 de terre sous un soleil de plomb ?
Revenons quelques heures avant ce lundi où nous avons victorieusement monté la cabane après de laborieux montages, démontages et re-remontages dus à une notice on ne peut plus foireuse, à peu près aussi pratique qu'une valise sans poignée dans un bordel de schémas où une vache n'y retrouverai pas son veau. Un petit coup de lasure, une bonne hésitation sur l'endroit où placer notre guérite (sans mauvais jeu de mot avec notre nom de famille s'il vous plaît) et voilà le travail.
Revenons en à nos moutons, ou plutôt à nos mottes. Après une livraison express des 5m3 étalés nonchalamment sur le trottoir qui jouxte la rue le long de notre humble demeure, nous charrions en quelques heures tout le paquet de terre, et pas en quelques minutes, bah oui, faut pas charrier (houhouhou haha haha !).
Voilà l'état avant l'arrivé du tas.
Voici l'état du tas et des forces vives.
L'état de l'épandage durant l'action (!!)
Et après ratissage, roulage et buvage (il faisait chaud oui !), voilà le résultat, ou encore le résult-tas.
Et encore le résultat (le même, mais de l'autre côté, enfin je dis ça, mais c'est au cas où vous n'auriez rien pigé... après tout, on ne sait jamais à qui on a affaire, alors, il vaut mieux préciser, bien que je ne doute aucunement de vos capacités intellectuelles, mais ne sait on jamais, peut-être avez vous passé une journée difficile qui fera prendre à mal les concepts visuels qui vous sont présentés ci-joint, dans un contexte bloguien près de l'approche rédactionnelle journalistique)